Pour lutter contre cette maltraitance qu’est le Syndrome du Bébé Secoué, la prévention est le seul levier. Une étude canadienne a démontré une réduction de 46% du SBS lorsque les parents reçoivent une intervention éducative à la naissance de leur enfant.
La réussite de la prévention est le fait d’un accompagnement des jeunes parents et d’une communication tout azimut des professionnels de santé et de la petite enfance.
Le 17 janvier 2022, le secrétaire d’État à l’enfance et aux famille, Adrien Taquet, a lancé une campagne de sensibilisation du syndrome du bébé secoué. C’est la première fois qu’une campagne de sensibilisation est d’une telle ampleur pour toucher les professionnels de santé, de la petite enfance et les parents.
N’hésitez pas à partager les supports de prévention ci-dessous, avec votre médecin, pédiatre, sage femme ou assistante maternelle. C’est ensemble et grâce à vos partages que nous arriverons à stopper ce fléau.
Tout d’abord, ce support a été construit et revu par la présidente du groupe de travail sur le syndrome du bébé secoué de la Haute Autorité de santé, experte médicale et judiciaire sur ce sujet : Anne Laurent Vannier.
Il s’adresse à tous : parents, et nounou / assistante maternelle ou professionnel de santé comme de la petite enfance. Ce support est élaboré pour être un outil de prévention. Il est utilisé pour être mis dans le cahier de liaison entre assistante maternelle / parent. Vous pouvez aussi le laisser dans les salles d’attente des pédiatres, sages femmes ou gynécologues par exemple.
Besoin de flyers au format papier, contactez l’association Enfance et Partage à communication@enfance-et-partage.org ou contact@preventionbebesecoue.fr
La cible de ce support sont les parents et les assistantes maternelles.
Besoin d’affiches au format papier, contactez l’association Enfance et Partage à communication@enfance-et-partage.org ou contact@preventionbebesecoue.fr
Vidéo choc de prévention issue de la campagne nationale lancée par le gouvernement le 17 janvier 2022.
Cette vidéo met l’adulte au centre de l’acte de secouement. Le bébé n’est pas responsable du secouement.
Le spot de prévention réalisé par l’association Les maux les mots pour le dire. Très bien fait, vous pourrez vous rendre compte des difficultés d’un père face aux pleurs de son bébé, les conseils pour faire face au stress.
Quelques soient la difficulté rencontrée avec son enfant, aucun excuse ne justifie de secouer un bébé. Le responsable est le secoueur et non le bébé.
Les informations me permettant de faire de la prévention sont issues des recommandations de juillet 2017 de la Haute Autorité de santé et du travail effectué avec des neuro-pédiatres experts de cette maltraitance.
Réunion avec le Secrétaire d’État à l’enfance et aux familles, Adrien Taquet, Aude Laffite et Dr Anne Laurent Vannier pour échanger sur le lancement de la campagne de sensibilisation du syndrome du bébé secoué.
Suite à l’invitation de La Cabane, intervention auprès de parents, professionels de santé et parentalié pour parler du SBS, des pleurs et du livre : La rentrée de Tom, bébé secoué.
A la demande du Relais Parents Assistants Maternels (RPAM) de la Haute Saône, je suis intervenu pour présenter le syndrome du bébé secoué. Après la présentation des statistiques, causes et symptômes, la 2ème partie de la soirée a été consacrée à l’utilisation du poupon de prévention. Ce poupon possède un crâne transparent où l’on voit le cerveau. Il est muni de diodes qui s’allument en fonction de sa manipulation. En l’utilisant, le publique composé de parents ou d’assistantes maternelles a permis de se rendre compte que le jeu (faire l’avion, jeter en l’air le bébé, faire “à dada” sur les genoux) ne provoquent pas le syndrome du bébé secoué.
Le Centre Communal d’Action Social (CCAS) de Montbéliard a réunion l’ensemble de ses structures (crèches, assistantes sociales) pour une soirée de prévention autour du syndrome du bébé secoué. Cela a permis d’échanger autour du poupon de prévention. Chacun a pu le manipuler pour se rendre compte de la force nécessaire pour secouer un enfant, qu’en jouant il est impossible de secouer un bébé et que les symptômes sont immédiat.
Ce 9 juillet 2019 sous l’impulsion de mon député Frédéric Barbier, j’ai été invité à l’Assemblée Nationale pour présenter le syndrome du bébé secoué. En présence de députés de toutes les tendances, nous avons rappelé ce qu’est le SBS, les causes, les conséquences et les statistiques associés.
En plus de parler du bébé secoué, avec l’avocate Sylvie Vernassière du cabinet Vernassière-Hudson, nous avons présenté des propositions d’actions et de lois pour améliorer la protection infantile.
La Protection Maternelle et Infantile du Haut Rhin a réuni l’ensemble de ses structures sur une journée pour parler du syndrome du bébé secoué : sages femmes, infirmières puéricultrices, assistantes sociales, médecins… La journée s’est articulée autour du plan de prévention de la PMI, de l’intervention du pédiatre du Pôle Mère Enfant de Colmar pour la partie médicale et mon intervention pour parler du bébé secoué en tant qu’association.
Lors de la Semaine de l’Allaitement Maternelle, j’ai tenu une conférence avec Estelle Ledon, infirmière puéricultrice. Notre intervention a été consacrée aux pleurs et aux bébés secoués. Au Salon Au Coeur de la Famille, j’ai tenu le stand de l’association Tatiana.
Nouvel interview dans Neon Mag : >>ICI<<
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